(can't color inside the lines.) né sans exister, tu fais parti de ces enfants qui ont connu un triste sort en sol chinois où les lois sévères bafouent la possibilité de famille avec plus d'un rejeton. sans être le seul dans cette situation à travers le pays, tu l'étais encore moins au sein de ton propre foyer. un milieu familial où les enfants n'ont cessés de s'ajouter au fil du temps, avant même que tu ne puisses capter pleinement le sérieux de la situation ; un point que ta mère a visiblement eu du mal à saisir. préféré de celle-ci grâce à tes beaux traits, tu n'as jamais poussé l'audace de faire basculer ce privilège en questionnant sa motivation à ajouter des bouches de plus à nourrir sous un toit qui n'a pas connu la richesse. (carried away by a moonlight shadow.) furtif et rapide, tu apparais sous tes meilleurs traits pour dérober ou inciter à la générosité. tes proies favorites sont ces gens qui ne viennent pas d'ici, ces étrangers, ces touristes venus découvrir une nouvelle culture. leur naïveté en fond des victimes faciles, tombant sous ton charme enfantin ou subissant le sort de tes dix petits doigts magiques aptes à se faufiler en vitesse. c'est ta façon de venir en aide à votre famille, à partager le fardeau de s'occuper d'autant de têtes avant même que tu n'aies même l'âge de prendre un verre. (know you gotta grow up.) être le deuxième enfant signifie devenir le tyran ou l'allié pour ceux à suivre, t'as choisi d'être un doux tyran, d'être celui qui exploite et manipule sans pour autant transgresser les lignes. d'abord des choses naïves comme obliger un de tes petits frères à t'apporter un verre d'eau pour éventuellement leur filer ta corvée de vaisselle. t'étais pas un enfoiré, juste un profiteur qui a su tirer profit de son quotidien, un peu comme un signe d'affection pour ce foyer bien rempli. la cruelle réalité de votre famille te tomba sur le dos en deuxième, forcé de te rendre utile en dehors de vos quatre murs pour ramener de l'argent sur la table ou quelque chose à manger en faisant les beaux yeux à la grand-mère d'une poissonnerie qui avait un faible pour ta bouille fragile. (a special bond of creation.) cette vie cachée semblait dessinée pour durer, jusqu'au jour où tu surpris ta mère à renvoyer son dernier repas dans les toilettes. pour une fois, tu n'aurais pas relevé, mais après trois occasions tu as commencé à te douter. tu n'étais plus en âge de te laisser berner. avec cette nouvelle grossesses, votre vie connait un tournant soudain : celui de devoir déménager. ailleurs, dans un autre pays dont tu ne connaissais pas la langue. pour avoir amadouer les touristes pendant des années, tu as appris des bribes de langages à gauche et à droite, rien pour formuler une phrase complète dans une structure correcte - mise à part l'anglais avec lequel tu te débrouilles plutôt bien, le français venant en troisième position si tu as le droit d'utiliser tes mains comme support pour ton vocabulaire boiteux. soudainement, vous vous retrouviez en sol coréen, une terre inconnue à laquelle tu mis du temps à t'adapter. perdre ton confort te fit un choc, sous tous les plans. tu étais habitué à ce que tu connaissais, pour te rendre compte que tu ne savais rien. t'as d'abord eu énormément de mal à parler et écrire la langue du pays, un peu moins pour la comprendre, ce qui t'a poussé à te tourner vers ta famille pour un coup de pouce à plus d'une reprise. pour celui qui avait déjà été vu comme l'érudit de la maison, tu tombais de haut à devoir réclamer assistance de tes cadets, en particulier de dewei.

(i don't need dollar bills to have fun tonight.) en dépit de tout, tu découvris un amour pour l'exploration de la ville une fois la nuit tombée, une fois que tu es bien certain qu'on te tentera pas de t'accoster dans la rue pour te poser une question trop rapide pour ta compréhension. cette est affection est restée, adorant toujours autant prendre le temps de te changer les idées sous les néons de la pollution lumineuse. tu n'avais plus besoin d'épier les gens, d'évaluer laquelle représentait la meilleure proie : ici tu es quelqu'un à part entière avec la possibilité de faire de vraies études et d'obtenir un boulot en règle. la vie t'a accordé la chance de devenir quelqu'un. (everything's gonna be alright.) encore peu habitué à ce nouvel univers, l'université a été la prochaine étape dans cette nouvelle vie, surtout pour toi qui espère devenir mieux qu'un simple enfant né en trop dans une famille qui n'a pas les moyens de supporter autant d'individus, mais qui a su s'en tirer plutôt bien selon les circonstances. t'aimes la vie étudiante, en profitant pleinement à chaque jour en ne ratant pas un cours même lorsque ton lit te dicte de rester lové sous ses drap. entre ton assiduité, ton intérêt et ta gueule d'ange, t'es tout de suite tombé dans les bonnes grâces de tes professeurs, ce qui représente plus d'un avantage - tel que le fait qu'ils te laissent partir dans ton monde quand tu te découvres une fascination pour ton surligneur.

(what their mother made them.) on dit souvent que la pomme ne tombe jamais bien loin de l'arbre, ce qui n'est pas entièrement faux dans ton cas. appréciant ta mère, surtout parce que tes beaux traits ont fait de toi le favoris, tu as pris de mauvais plis chez elle. en partant d'une facilité à fréquenter un lit à cette idée arrêtée sur l'avortement. (music turned all the way up into the maximum.) incapable de concevoir l'idée de continuellement dépendre des transports en commun ou d'amis, t'as décidé d'acheter ta propre voiture depuis quelques temps. c'est pas le véhicule de rêve, mais il roule, ne fait pas trop de bruits louches et ne présente que de faibles signes d'usures apparents. sauf que du coup, tu te retrouves souvent sollicité à des heures étranges pour jouer les chauffeurs. bon, t'as vite compris comment user de tes charmes pour faire payer ceux qui posent leurs fesses dans ta voiture. (i ain't your mama.) étant le deuxième enfant de la famille, il t'a fallu développer des aptitudes pour décharger ta mère d'une part de ses tâches. tu t'es donc tourné vers la cuisine, sans pour autant oser prétendre que t'as la touche magique. tu sais surtout comment faire à manger, une base respectable et utile qui a parfois le tour d'étonner les mesdemoiselles. le revers de la médaille est que t'as été habitué de donner des ordres à ta fratrie pendant que tu t'occupes d'un repas, une habitude qui ne t'as pas quitté à l'heure actuelle. (i'll catch you through it all.) on dit que la famille est l'une des choses les plus importantes et, selon les jours, ton opinion varie sur le sujet. certes, t'as surtout été le grand-frère qui voit des mini-esclaves gratuits dans ses cadets, mais aujourd'hui tu apprécies un peu plus la valeur d'avoir une si grande fratrie. t'as bien aimé les malmener, ce qui est encore le cas selon la situation, mais tu es demeures présent en cas de besoin. sauf peut-être pour ton aîné avec lequel tu connais surtout des frictions par la faute de vos caractères. tu n'oublies pas que vous n'êtes pas vraiment du même sang à part entière puisque vous possédez tous un père différent, un point que tu ramènes sur le tapis dès que tu peux en tirer avantage - pour te défiler d'une situation, par exemple. (this is how you remind me of what i really am.) depuis que tu sais marcher, ta mère a constamment souligné ton adorable minois, tes traits angéliques qui sont devenus ton charme. l'attention toujours concentrée sur ton apparence, tu t'es trop souvent demandé si c'était la seule chose que l'on voyait chez toi. c'est principalement ce qui a motivé ton désir d'éducation, de pousser tes connaissances plus loin afin d'être plus qu'une simple belle gueule.

moi je voulais jouer un exo, mais ils sont pratiquement tous pris alors je me suis dirigée vers autre chose {#}froue{/#}  non sérieusement, je cherchais un forum sympa où me glisser pour un petit rp pas trop compliqué et je vous ai trouvés  donc, chaotic.evil, vingt-quatre ans, fière membre de la team caribou, qui déteste ne pas être à jour et qui ne dit jamais non à un rp.  :<33:
update: CHEN MON BAE, JE SUIS JOIE mdrr