Lorsque Yeol est né en 1994, il a fait le bonheur de sa famille. Ses parents avait espéré un enfant depuis si longtemps qu’ils ne cessaient de s’en réjouir. Ils étaient pauvres certes, mais ses parents s’aimaient et prenaient soin l’un de l’autre. Yeol a grandit ainsi, entouré d’amour et de cette tendresse dont faisaient preuve ses parents. Très jeune, il a été témoin des sacrifices qu’un homme pouvait faire par amour et a observé ses parents se démener l’un pour le bonheur de l’autre. Ils lui ont inculqué le sens du devoir filial et le respect. Yeol a grandit mais n’a jamais perdu de ces valeurs humaines que ses parents lui ont transmises. Beau, jeune homme intelligent et ambitieux, malgré le manque de moyens financiers qui aurait dissuadé plus d’un, Yeol n’a jamais envisagé d’abandonner ses études. Peu importait l’effort surhumain que cela pouvait lui coûter, avec l’aide de ses parents et l’argent qu’il gagnait avec ses jobs à temps partiel, il a réussi à payer ses études avec la ferme intention de réussir et d’obtenir son diplôme. Plein d’ambition, il espère un jour offrir une vie plus aisée à ses parents, les rembourser en quelques sortes pour tout ce qu’ils ont fait pour lui.

À la fac, Yeol ne cherche pas à attirer l’attention sur lui. Du genre calme et plutôt solitaire, il n’est pas pour autant asocial mais n’aime pas se mettre en avant pour des questions de popularité ou autre. Cependant, ce serait mentir que de dire qu’il n’est qu’un étudiant invisible parmi tant d’autres. Son intelligence lui vaut les louanges des professeurs et ses camarades ne perdent pas une occasion pour faire équipe avec lui lorsqu’ils ont un travail de groupe à effectuer.

Quant aux filles, Yeol n’est pas un coureur de jupons mais sa grande taille et ses yeux, à la couleur si inhabituelle pour un Coréen, ne laissent personne indiffèrent à son charme.