Naissance à Oslo, d'une mère coréenne et d'un père norvégien. ceux-ci ne se sont jamais mariés, un couple plutôt moderne et (très) original. Sa mère, aujourd'hui encore est très extrême dans son style vestimentaire et son style de vie. Elle adore la mode kawaii japonaise et vit dans le rose, le pastel et tout ce qui est mignon. Et les chats par exemple, c'est très mignon ! Pourquoi ne pas appeler son fils ainsi ? Merci à l'état civil norvégien de ne pas comprendre le coréen et d'avoir laissé faire. Quand au père, pourquoi n'avoir rien dit ? Bof, il a abdiqué depuis longtemps face à sa fantaisiste compagne !

Il y a eu quelques aller-retours entre la Norvège et la Corée du Sud jusqu'au collège, où ses parents ont préféré assurer un minimum de stabilité à Goyangi jusqu'à la fin du lycée.
Cependant, Goyangi n'a jamais eu le courage de révéler la signification exacte de son prénom, il a choisi de surfer sur l'impossibilité généralisée de ses amis à prononcer cette langue. C'est donc devenu « Giyan ». Il a menacé sa mère de revendre sa collection de lapins en peluche si elle osait dire son prénom en présence d'autrui. Menace qui fonctionne encore.

Goyangi est passionné depuis tout petit par les livres, mais aussi les sports notamment l'escrime. Il a pratiqué cette discipline depuis l'âge de huit ans, a commencé une carrière de sportif de haut niveau, allant jusqu'aux championnats du monde et même plus ! Mais malheureusement, à l'âge de vingt sept ans, il se blesse à la jambe en se faisant renverser par une moto. Fin de sa carrière d'escrimeur... à son grand dam.
En parallèle du sport, Goyangi a toujours souhaité poursuivre ses études et faire des livres sa principale activité. Il fait de longues études de littérature dans une université de son pays natal. Entre temps, sa famille déménage en Corée du Sud, sa mère souhaitant revenir à Séoul après de nombreuses années à l'étranger. Ce n'est qu'après l'obtention de ses diplômes et son agrégation qu'il les rejoint.

La recherche de travail à Séoul n'a pas été si compliquée. Goyangi a décidé d'envoyer ses références à plusieurs universités et est parvenu à obtenir des entretiens. Ce n'était pas gagné d'avance, vu ses manières. Mais il semble que son originalité franche, son bagout, son élégance naturelle ainsi que son caractère affirmé aient convaincu l'université nationale de Séoul de lui laisser le poste de professeur de littérature étrangère, sans même s'offusquer lorsqu'il a prévenu que sa chauve-souris de compagnie l'accompagnerait. Peut-être que la directrice avait besoin de divertissement et de nouveauté en ce jour ennuyeux d'entretien ?

À Séoul depuis maintenant trois ans, ayant fêté ses trente ans en début d'année, Goyangi a pris ses habitudes dans la capitale coréenne. Même si la Norvège lui manque, il fait en sorte de pouvoir y retourner au moins une fois par an.
Il habite dans le quartier d'Insadong avec ses inséparables Sherlock, petite chauve-souris et Watson, un beau gros matou. Il emmène Sherlock avec lui partout, même en cours, elle reste sur son épaule, tandis que Watson garde l'appartement... (un vrai chat de garde).

Ayant vécu la majorité de sa vie en Norvège, il conserve un accent fort lorsqu'il parle coréen, ainsi qu'une façon de très de parler très directe ▴ Son appartement ressemble à une bibliothèque et à un musée dédié aux chats et aux chauve-souris ▴ Son comportement change du tout au tout quand il est avec des animaux ▴ Il aime tellement manger qu'il a des réserves partout (voiture, bureau, sans compter les x cachettes de nourriture dans son propre appartement) ▴ Très désordonné, sauf quand il s'agit de ses collections, ses livres ou son travail ▴ Son prénom signifie chat, il a beau adorer les chats, il ne se remet par de cette fantaisie inutile de sa mère et ne dit jamais comment il s'appelle vraiment ▴ Il possède une chauve-souris et un chat ▴ Il est célibataire depuis très longtemps, ça choque les personnes qui ne comprennent pas « pourquoi un beau gosse comme toi est célibataire », ce qui le met juste en rogne ▴ Suite à sa blessure, il ne peut plus faire de sport intensif et porte une attelle qu'il tente de cacher au mieux ▴ Sa petite soeur, Sissi, étudie dans l'université où il enseigne ; leur relation n'est pas toujours simple, cette dernière étant une commère qui adore voler les affaires de son frère pour les revendre à des admiratrices et admirateurs...

un petit reboot de styr pour se remotiver sur hm   en espérant que vous allez apprécier Goyangi, sa chauve souris, son chat et son humeur de chien