⊱ hundred miles c'est un forum réel asiatiquecity/universitaire basé à Séoul — une réponse par mois minimum — Avatars occidentaux bienvenus ! — Taille des avatars 200*320px — Une semaine pour finir sa présentation — Pas de prise de tête, rien que du love. That's all folks ٩(^ᴗ^)۶
à l'orée des persiennes au charbon délicat, reflet au cœur des iris crépuscule d’une ambition en incandescence — cendres funèbres des mauvaises esquisses pour être le portrait unique, yerin élabore en constance morbide des toiles au tracé létal et pare chaque jour de vengeance carmin ses funestes dessins violence complaisance
singmogil, prière pour la nature des graines dispersées sur la terre comme un geste divin
yerin se moque des bonnes actions, drape d’hypocrisie ses idées pour arborer avec grâce le linceul de la générosité alors que son cœur pétrole n’est tissé que de mensonge et de cruauté ; c’est presque trop facile de masquer ses désirs de parjurés. dans le jardin d’eden, sublime de compliment des êtres qu’elle considère comme inférieur, offre un soutien factice par intérêt — on a sacrifié l’authenticité sur l’autel des damnés
s’écoule le temps regarde le monde en songeant à son règne fantasme annihilé quand elle croise l'ombre du roi soleil (aujourd'hui lui ; demain elle)
c'est ton rire qu'elle reconnaît
tombeau des lucioles nécropole des vices
toi
remord dissous dans l'acide d'une psychose effroyable ; cœur sclérosé à en paralyser le battement des autres — blasphème poème sur ses lèvres goût grenadine se mime un sourire d'accueil comme pour sonner le glas des enfers
funèbre éloge réminiscence du passé te revoir pleurer, t’effondrer sur les dalles en supplice ; tes larmes en bénédiction
yerin se souvient de tout, ne ressent toujours rien excepté la satisfaction morbide de t’avoir fait souffrir car tu le mérites. non areum, ne cherche rien ; dans son regard pas un remord, pas un sanglot de chagrin — du vide empathie en résonnance de rancœur et de mauvaises pensées sataniques mais tu le sais non ? qu'à ses yeux ce qui est mal est terriblement bien
naïve areum, tu n'as toujours pas compris là où yerin est, tu ne peux exister
tonalité suave, parfum opium. chers tous, je vous souhaite la bienvenue à la journée du singmogil organisée par le conseil des étudiants. (bienvenue dans son royaume)
orbes charbon en surbrillance d'extase euphorie malsaine — areum en éclat de tristesse, yerin en éclat de joie
besoin vital de se rendre utile, pour elle-même, pour le reste du monde, coule dans ses veines, elle qui ne sait que trop bien, à quel point l'inutilité peut coller à une vie, et ne jamais partir. geste banal d'une gamine transpirant la simplicité, singmogil bienfaiteur, inscription souhaitée et accueillie. ode à mère nature, areum fée candide à l'impatience saillante. les rires ingénus s'échappent des ses lèvres églantines, tandis qu'elle, espère que l’événement démarre.
si elle savait, pauvre naïve, dans quoi elle s'est engagée. areum gardée de toute prévention, que ses cauchemars reprendront vie, dès le seuil des jardins passé par la reine des enfers. le bonheur se fane aussitôt lorsque la vipère arrive, mauvaise surprise. tout s'illumine, tout s'efface, clair-obscur mauvais présage. là au milieu des fleurs, elle ploie sur le monde, monarque fière. yerin, instigatrice de ses maux, antagoniste de son existence toute entière.
les mains deviennent moites, la vision se trouble et les échos d'enthousiasme se taisent. areum peut-elle encore supporter, la présence de cette fille détestée ? sa chevelure blonde, reflets dorés de son existence brillante, tandis qu'elle, baigne encore dans la tourmente qui paraît éternelle, quotidien qui ne semble plus, jusqu'à aujourd'hui, douloureusement frappé d'une palette cramoisie.
espérée sortie des abîmes de la cruauté, et voilà areum à nouveau hantée, yerin en démon, subtilement déguisé.
sirène au chant hypnotique, belle mais tellement dangereuse. yerin à la voix veloutée, yerin au timbre berceur, mots que la plèbe écoute sans poser de question, discours mielleux d'une princesse aux ambitions démesurées. areum ayant déjà goûté à ses envies dévastatrices, areum qui sait regarder au delà des apparences angéliques. première victime, pensée triste qu'elle ne pourra se défaire du ténébreux destin qui semble s'accrocher. elle le sera, éternellement.
les regards se focalisent, les paroles se taisent. on l'écoute, on la respecte, sourire éclatant. yerin la supernova, areum, l'étoile en déclin. et puis les regards se croisent, areum accablée, yerin enchantée. elle la sent encore, au travers de toute son aura délicate, cette envie de parsemer le monde d'un mal continuel. yerin... sommes-nous encore au lycée ?
une suée s'empare de son âme, comme pour la prévenir du danger imminent. — areum à la folle envie de disparaître et qui pourtant, ne parvient pas à bouger de sa place. je dois m'en aller.
credit; sial
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i saw it different, i must admit. i caught a glimpse, i'm going after it,,
apocalypse du chaos genèse de ton malheur et de tes maux
rictus de mauvaises augures des lèvres qui s'ornent d'un aura maléfique, s'abreuvent de ton angoisse latente pour abhorrer avec effroi une alacrité éphémère parce qu'au cœur des horreurs, on jouit d'inverser les bonnes mœurs pour les couvrir d'atrocités
areum, dis-moi as-tu — peur ? à frôler les enfers poussière téphras
(luminescence émotion) miséricorde areum — lueur délicate aux éclats d'empathie innocence, yerin aimerait t'éteindre dans sa boîte de pandore pour annihiler la parasite candeur que tu distilles en liqueur bonheur et derrière les rayons carmin, s'épand en catalyse nocive du poison malsain dans le vermeil de tes trajectoires filantes
vacille tes orbes en sa présence tes étincelles ivoire se noient de noir
cruelle ironie en damnation du destin car areum oui toi en astre ecchymose renié du système solaire, unique à connaître les pêchés du soleil au crépuscule des atrocités, des années-lumière auparavant mais résonnent encore les mauvais comportements en écho hier
à présent que nous sommes réunis (silence vénération) je vous remercie chaleureusement de nous accompagner tout au long de cette journée, qui s'annonce des plus radieuses. en filigrane sinistre à l'orée des cils, promesse suave de calamité à qui ose s'éluder — areum, reste
sentence sur le papier de soie (regardez-la regardez moi) vous êtes nombreux, ce qui nous touche énormément. traîné subtile d'un rire à la calligraphie hypocrisie. pour faciliter l'organisation, nous vous avons donc répartis en plusieurs groupes. le numéro de votre groupe ainsi que votre nom sont notés sur les cartons que nous allons vous distribuer dans un instant.
toile de veuve noire enserrant ton âme ô diable ! la remise en cause de sa propre personne