âme macadam ciel kérosène
oscillation des pensées
des rayons carmin en ombre pâle sur les murs, impact vibration des ondées sonores en écho aux éclats de joie effet chronostase au cœur des songes, yerin drape ses rêves d'éventualité pouvoir à la toxicité de l'ambition tout en apposant des regards bienveillance
n'y croyez pas
yerin ne sourit jamais vraiment
pour vous
comble le vide par du désespoir, parasité à l'acrylique des déceptions, cruelle yerin qui sature des promesses aux effroyables illusions et murmure en jugement sinistre des espoirs d'incandescence éloge funeste
patience
(non possédée)
esquive les conversations par des battements de persienne charbon — des morceaux de rire qu'on parsème en constance hypocrisie — c'est risible de les voir se délecter de quelques mots vides de sens, l'être humain au bord de la damnation pour de la poussière cendres
quelques pas au bord des lignes blanches et puis toi
sur le banc en marge de l'humanité
trouble les pensées
voile du flou intérêt
effroyable yerin en persistance réflexion sur ce que les autres peuvent lui apporter (elle ne donne rien, jamais) s'approprier la luminescence des étoiles pour illuminer l'astre de son propre système solaire tout en traçant de ses orbes funèbre des cataclysmes
je peux ? sourire des vices, catacombe au creux des ombres. tu ne les rejoins pas ? tonalité suave à la liqueur poison, car en lisière de ses lèvres aux teintes malheur s'écoule un sourire aux esquisses des mauvaises augures — yerin en filigrane des enfers
personne ne peut assujettir satan