STAFF ✺ ❥ exitus acta probat UNE P'TITE PHOTO ? :  AVATAR : kim yerim + red velvet
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NOUS A REJOINT LE : 06/05/2017
AGE : 26  | ( #) Sujet: ✵ * ✧ · lilac crown  Lun 25 Jan - 12:12 |
| | FT kim yerim (yeri / red velvet) :: scénario de @yang noam YANG MONA
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 | ≋ nom prénom ↝
Yang (Hasegawa) ;; le patronyme maternel comme nom-cocon, talisman destiné à préserver l’enfant de l’aura aveuglante du père. L’anonymat réconfortant du premier n’éclipse en rien la fierté vouée à son paternel, tant et si bien qu’elle tend aujourd’hui à se présenter sous les deux égides.
Mona (Nayoung ; Ami) ;; Syllabes éphémères sur des lèvres dupées par la douceur apparente du prénom. Reflet des multiples influences qui ont bornés son existence, rappel perpétuel qu’elle vient d’ailleurs, de nulle part, ou de partout à la fois.
≋ âge & date de naissance ↝
24 ans — 01/01/1997 ;; Née sous une pluie d'étincelles incandescentes, projetées vers le ciel par une humanité insouciante. Ses premiers pleurs ont fait échos aux éclats des fusées d’artifices, et l’air a tremblé devant sa rage de vivre.
≋ lieu de naissance & origines ↝
Los Angeles, California, U.S. ;; bercée par le murmure des vagues. La terre d’été, sa terre dont elle chérit encore le souvenir comme la sensation de l’orbe vermeille réchauffant sa peau diaphane. L’haleine iodée de l’océan hantant ses songes lorsqu’elle se remémore les hivers tièdes et les étés brûlants.
≋ orientation & statut ↝
hétérosexuelle — célibataire ;; solitude persistante, le coeur parfois épris, souvent brisé. rendue débile par l'amour qui se défile, le myocarde vacille, en quête perpétuel de l'idylle idéal, celui des histoires qu'elle aime tant. Dévorée par les fantasmes qui ne sèment que déception dans la poitrine fébrile, elle s'épuise à espérer.
≋ cursus ↝
l'abandon — déception familiale ;; après quatre années en art du spectacle, Mona a définitivement abandonné ses études il y a quelques mois, sans diplôme ni expérience.
≋ métier/job ↝
accumulation vendeuse nocturne au kombini du coin, elle a aussi repris son job diurne de serveuse au café. Entre deux clients pressés elle ingurgite des dizaines de pages insipides, engrangeant fiévreusement des connaissances indigestes dans l'espoir d'un jour, pouvoir lancer sa propre start up.
≋ situation financière ↝
dépendante — fragile ;; vivant à nouveau au crochet de parents acceptant une fois de plus, de fermer les yeux sur ses soudaines fantaisies de l'enfant excentrique. elle a rendu l'appartement qu'elle louait autrefois, fourré ses trésors dans des cabas usés, et a retrouvé le réconfort de sa chambre d'enfant. par honte ou par fierté, elle se débat pourtant avec ses jobs à mi-temps, dans l'espoir peut-être, de pouvoir financer les idées qui dans son crâne, foisonnent.
≋ caractère ↝ effrontée — tempétueuse — passionnée — colérique — téméraire — malicieuse — insecure — loyale — indécise — emportée — maladroite — susceptible — sensible — secrète |
j'ai mis en marque-page, une fleur séchée, et je suis parti me promener. avec toi, en ramassant un vieux vélo dont quelqu'un s'était débarrassé ; nous avons empilé les briques des souvenirs que nous commencions à oublier, puis nous nous sommes à nouveau brisées.
|   | ≋ surnom ↝ nana ≋ signe astrologique ↝ capricorne ≋ signe chinois ↝ rat de feu ≋ animal fétiche ↝ l'écureuil ≋ permis de conduire ? ↝ non ≋ tatoo // piercing ? ↝ non ≋ signes distinctifs ↝ smol and angry ≋ rêve ↝ devenir maitre pokémon ≋ addictions ↝ // ≋ superstition ↝ absurdes croyances issues des folklore qui l'ont bercé depuis l'enfance. ≋ casier judiciaire ↝ vierge ≋ ambitions/aspirations ↝ reprendre à zéro. ≋ toc // manies ↝ insulter les gens en japonais et souffler ses mots d'amour en anglais. ≋ phobie ↝ les hauteurs ≋ objet fétiche ↝ un bracelet de sa grand-mère. |
✷ · . * ✵ · ⊹ . ⋆ . . . . SEE ME SPARKLE ; SEE ME FLAME ⊱ w a t c h m e ⊰❝ k e y w o r d s ❞ the art of eye contact ; darling, you are different ; ice cold soda ; le corps moucheté d'étoiles ébènes ; the bravery ; l'histoire que tu ne connais pas ; les foules anonymes ; i have a whole little world in my head ; le triangle d'été ; unbreakable ; where does that leave me ? ; sugar song and bitter step ; I M P U L S E ; the messy heartbeats ; chaotic & tragic ; the wild type ; sour marmelade mochi ; why am i so emotional ? ; glassy sky ; elles sont énervantes les filles d'aujourd'hui ; marvelous ; switching langages mid-sentence ; le nacre de ses larmes ; here come the sun ; in this together ; nothing hurts forever ; i'll wake up older tomorrow 「 i thought you ought to know 」
sunlight
Née au pays de l’été éternel, mona c’est l’enfant capricorne qui s’éprend des lumières estivales et des rouleaux d’eau salée qui s’échouent sur la grève surpeuplée. Mona a grandi dans l’insouciance d’un ciel toujours bleu, foulant de ses pieds naïfs une terre brûlée par la perpétuelle canicule. Les cheveux imprégnés par l’iode du Pacifique, la peau chauffée à blanc par l’astre californien. Elle l’a aimé ce monde cosmopolite. Elle l’a adoré, cette enfance nomade, dont Los Angeles était le point de chute. Les couchers de soleil sucrés sur l’oasis émeraude, les guerres fraternelles qui éclatent à l’heure bleue, lorsque le diner se fait attendre et que la nuit tombante exalte les impatiences de quatre gosses profitant des tiédeurs crépusculaires pour chahuter dehors. Ils ont vécu la vie bohème, celle qu’on chérit et qu’on regrette. Parcouru le monde dans le sillage de leur père, épousant sa carrière musicale fructueuse. Y a eu ces étés interminables dans les contrées de leurs grands-parents, ces copains du monde entier à qui Mona écrivait fiévreusement des lettres candides auxquelles elle joignait les corolles asséchées des fleurs de son herbier. Comme un cadeau pour qu’on ne l’oublie pas, là-bas, de l’autre côté des océans.
crépuscule.
Cette vie, comme un mirage, s’est dissipée entre ses phalanges à l’aube de sa seconde décennie d’existence. On a vidé la belle maison californienne de ses rires et de ses cris. Les cassettes et les dessins se sont empilés dans des cartons qu’on oubliera ensuite dans la pénombre d’un grenier. Le venin de Mona, ses cris et ses suppliques, sa colère indomptable, n’auront rien changé à la décision parentale de traverser une ultime fois le Pacifique pour s’établir à Séoul, pays natale maternel. Sous ses yeux, sa vie s’est fragmentée en des dizaines de boites cartonnées. Enfin, le soleil californien s’est couché une dernière fois sur la flaque d’étain qu’est devenu l’océan, des milliers de mètres plus bas, sous le ventre vorace de l’avion qui l’arrachait à son pays natal.
fureur.
Là-bas, l’été ne dure jamais longtemps et le ciel a souvent l’allure d’une mer de brume. La belle, furieuse et désemparée, se laisse volontiers allée à la détestation que lui inspire cette vie nouvelle, peuplée d’inconnus belliqueux qui peu à peu, entachent la candeur de son âme solaire. La gamine qui n’aime pas l’école, qui peine à cacher son mépris pour tout ce qui l’entoure et l'étouffe, dévorée par la rancœur qu’elle éprouve à l’égard du monde gris devenu son berceau. Y a bien des rêves qui continuent de nourrir son esprit ravagé. Mona se voit actrice, partageant les plateaux avec les plus grands. Et retrouver la fantaisie de sa vie d'antan. Mais ici, elles font tache, les aspirations débraillée de la californienne. On lui annonce que si elle fait pas d’effort elle arrivera à rien, et la gamine y croit fermement, elle s’ra jamais bonne à rien. Pénibles et délétères, les dernières années au lycée s'étire douloureusement, et la fille aux doigts lilas s'efforce à refouler toutes ces émotions qui ne font que croître obstinément, mais en silence, dans sa cage thoracique. Ses joues potelées et son sourire feint lui alloue une certaine sympathie qu'elle contrecarre parfois par quelques accès de rage spectaculaires, qu'on lui pardonne toujours ; paradoxe vivant de la gamine frêle aux colères trop immenses pour être contenues dans un si petit corps. Autour d’elle, l’affection outrancière qu’elle est parfois réticente à accepter, échappatoire de prédilection quand en rentrant à la maison, elle retrouve un petit bout de sa vie de Californie chaque fois que son frère la titille en anglais, braquant sur elle sa caméra préférée.
l'heure bleue.
En première année de fac de théâtre, alors qu’elle loge avec un groupe de filles détestables, aussi faussement adultes qu’ouvertement immatures, elle s’est soudainement éprise pour un garçon nommé Shiroh, qui l’attire surtout par sa tête de satyre et son parfum légèrement musqué. Il est très différent de tout ceux qu’elle avait connu jusqu'alors ; faux et délicat, trop beau pour être vrai, parfaitement fascinant. Il s’est avéré que Shiroh était non seulement tout à fait arrogant mais également particulièrement instruit, notamment en matière de cinéma, le domaine de prédilection de Mona. Tous les jeudis soir durant cette première année, Mona et Shiroh se retrouvent dans un salon obscur, où les tapis persans sont imprégnés d'une odeur de tabac consumé, et où une dizaine d’autres personnes ressassent inlassablement les classiques du cinéma hollywoodiens en sirotant des bières bons marchés et en poussant des pièces sur un échiquier poussiéreux. Certains soirs, ils lisent des scènes et s’exercent, et très souvent, quelqu’un pleure. Il arrive que ce soit Shiro. Mona elle, ne pleure jamais, et éprouve parfois, en voyant l'un d'eux submergé par l’émotion, une envie inopinée et nerveuse d’éclater de rire. Tout là-bas, n’est qu’un décor absurde où chaque membre de ce club officieux jouait un rôle bancal et plein d'orgueil. Elle n’éprouve pas d’attachement émotionnel avec ce lieu et ces personnes. Elle s’était convaincue depuis longtemps qu’une actrice n’a pas besoin de lien, et se contente de faire un numéro de charme en papillonnant maladroitement sur scène. Mais même pour ça, elle n’est pas très douée. L’année suivante, Shiro a quitté l’université, et le club a cessé d’exister, nonobstant la peine inattendue de l’ingénue, qui ne compris son affection pour eux que le jour où ils disparurent tous.
dazzling.
Fallait bien qu’un jour, la corolle ne se départisse de son dernier pétale. Ultime rejet de ce garçon qu'elle a aimé trop fort, et voilà le cœur mis à nus et départi de sa raison. Lentement déshabillée de ses armures rouillées, le palpitant assoiffé ne demande qu’à éclater. Elle aurait pu tout casser, tout foutre en l’air, se foutre en l’air. Comme totalement consumée, la belle au cœur abîmé s’est contentée de remplir un sac de futilités indispensables. Au rez-de-chaussée, ses parents et son petit frère ne sont que spectateurs impassibles (impuissants) du déferlement de rage de l’âme éperdue. Aveuglée, accablée, la retenir semble aussi vain que de vouloir garder de l’eau entre ses mains.
a thousand sparks
L’apaisement ne vient qu’une fois la belle installée dans ce train qui bringuebale paisiblement. Sur la banquette opposée, une femme parle à son enfant dans une langue familière qui n'est pas tout à fait la sienne. Mona contemple son reflet dans la vitre crasseuse, et songe que c’est réconfortant, d’imaginer que pour tout ceux qui l’entourent, elle regarde le paysage, quand, en réalité, c’est son image qui l’obnubile. Elle se sent en sécurité dans l’intimité de ses pensées. Un crayon roule doucement sous ses doigts. Y a une feuille de papier un peu froissée qui repose sur ses genoux, sur laquelle elle a gratté de longues phrases qui sonneront sûrement creuses aux yeux de leur lecteur. « I thought you ought to know » disent les premiers mots. Elle espère qu’il comprendra, mais devine qu’il n’en sera certainement rien. Même lui peut pas soigner ces maux-là, comme elle a été incapable de soulager les siens. Les blessures d’amour c’est pas quelque chose qu’on peut réparer d’un simple pansement sur le cœur ; ça prendra du temps. Elle reviendra.
tout sera différent. my dearest.
Sur le quai, Shiroh attend, il a ce petit sourire arrogant qu’elle lui connait bien quand il s’empare de son sac pour le charger dans sa voiture. La carrosserie est bouffée par les pluies salées. Il la salut en japonais « pour la mettre dans l’ambiance », et se contente de son silence quand elle répond d’un rictus tordu. Il posera pas de questions, il sait qu’avec mona, les moments de grâce sont ceux où elle se tait et se contente de respirer, jusqu’à rassembler assez de courage pour que le premier mot soit soufflé.
 | ≋ pseudo ↝ mathilde / mama ≋ pronoms ↝ elle ≋ présence ↝ ≋ qu'est-ce qui t'amène ? ↝ ≋ nombre de mots ↝ ≋ région/pays ↝ fraaance ≋ more ↝ je reprend ma bébou ingrid qui devient d'ailleurs mona histoire de la remettre au propre et de repartir sur des belles bases  c'est pas vraiment un reboot, le personnage ne va pas foncièrement changer en dehors de son prénom, mais je voulais quand même essayer de remettre de l'ordre dans mes idées, la dépoussiérer et lui trouver de nouveaux liens et un nouveau but  j'espère que vous l'aimerez (avatar : pastel breathing ;;) |
—we're not equal parts light and dark we can be brilliant |
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heulim ≈ we have art in order not to die from the truth UNE P'TITE PHOTO ? :  AVATAR : #shownu (monsta x)
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NOUS A REJOINT LE : 01/06/2020
AGE : 29  | ( #) Sujet: Re: ✵ * ✧ · lilac crown  Lun 25 Jan - 17:36 |
ohhhhh le retour! ce prénom de fab miam |
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STAFF ✺ ‹ MOTHERFUCKING STARBOY - WOMANIZER IN THE STREETS UNE P'TITE PHOTO ? :  AVATAR : baekhyun my love
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NOUS A REJOINT LE : 21/07/2016
AGE : 28  | ( #) Sujet: Re: ✵ * ✧ · lilac crown  Mar 26 Jan - 16:40 |
vie de ma mère jveux te pécho —
- Han Soo Yun a écrit:
- J'savais qu'on allait la sortir et j'aurais du parier sur toi, le roi des vannes pourries.

- PLAYLIST SINJA ♡ by caro sunshine:
- cadeau de Caro-ange je suis en larmes:
- cadeau de ma plus belle Coline:
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STAFF ✺ ❥ exitus acta probat UNE P'TITE PHOTO ? :  AVATAR : kim yerim + red velvet
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NOUS A REJOINT LE : 06/05/2017
AGE : 26  | ( #) Sujet: Re: ✵ * ✧ · lilac crown  Sam 6 Fév - 12:34 |
—we're not equal parts light and dark we can be brilliant |
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